fermer

GR54 : Tour de l’Oisans et des Écrins (9 jours)

Cette année nous repartons qu’à deux et si nous avions adoré le Tour du Mont Blanc, nous recherchions un itinéraire plus sauvage. Le GR54 – Tour de l’Oisans et des Écrins, est considéré comme l’un des GR le plus difficile d’Europe et le plus montagnard de la trilogie des Alpes françaises (avec le TMB et la Vanoise).
Ce qui nous attend en quelques chiffres : 170km, 10 000m de dénivelé et 3 pays traversés !

JourÉtapeKmDuréeDénivelé
1Bourg d’Oisans – Bonnefin257h+1400 / -760
2Bonnefin – Arsine247h+1480 / -1320
3Arsine – Chapelle de Charvet185h30+800 / -850
4Chapelle de Charvet – Pont des places216h+920 / -1200
5Pont des places – Pré de la Chaumette227h+1500 / -1000
6Pré de la Chaumette – Chapelle en Valgaudemar278h+1400 / -1900
7Chapelle en Valgaudemar – Désert en Valjouffrey217h45+1460 / -1300
8Désert en Valjouffrey – Lac de la Muzelle177h+2170 / -1320
9Lac de la Muzelle – Bourg d’Oisans206h+540 / – 1800
Les durées indiquées prennent en compte les pauses !

Informations pratiques !

  • Période de l’année : mi-août
  • Accès : en train jusqu’à Grenoble puis bus ligne 3000 jusqu’à Bourg d’Oisans
  • Équipement : tente 2 places, sac de couchage 0°, tapis de sol, jetboil
  • Alimentation : lyophilisés pour les diners, achats dans les villages pour les déjeuners / p’tits déj
  • Autres informations :
    • Nous n’avions réservé aucun camping, il est autorisé de bivouaquer dans tout le parc de 19h à 9h
    • Il y a des points d’eau dans tous les villages
    • Sur la première partie du GR il est facile de se ravitailler (jusqu’à Monetier), beaucoup moins sur la 2ème partie, il faut donc bien anticiper !

#0 : Paris – Grenoble | Faux départ

Raconté par le Lièvre

Partis de chez nous par le train direction Grenoble nous passâmes un agréable voyage sans encombre… enfin pour l’instant. Au moment du check-in à l’hôtel, la Tortue se rend compte qu’elle n’a plus ses papiers, probablement tombés dans le train. Les vacances commencent bien !
Heureusement 1 : l’hôtel était à 100m de la gare
Heureusement 2 : le contrôleur de notre train logeait dans le même hôtel
Après une belle course poursuite, accompagnés de notre contrôleur (bonne poire il faut le reconnaître), on récupère les papiers à 30 sec du départ du train pour Lyon.
Les vacances peuvent commencer !

#1 : Grenoble – Bourg d’Oisans – Bonnefin

Raconté par la Tortue

7h : Bus 3000 direction Bourg d’Oisans où nous arrivons à 8h30. Petit arrêt au marché pour faire le plein de victuailles pour le déjeuner et nous sommes partis. 4h30 de montée, objectif le col de la Sarenne ! Si le début se fait plutôt bien en forêt, à partir de Maronne ça se complique ! Il fait chaud, chaud ! Les épaules sont douloureuses et les jambes lourdes. Finalement, nous arrivons tant bien que mal (surtout pour la Tortue).

Arrivés là haut, pause déj qui fait du bien et point sur les troupes ! J’ai des ampoules au pied, mal aux hanches et surtout une grosse douleur à l’épaule droite. Le Lièvre récupère mon sac de couchage pour alléger le poids de mon sac et nous voilà reparti. 1h45 de descente pour Clavans le bas. Début un peu technique, tout ce que j’aime; en plus, on se retrouve très vite à sec d’eau (ce qui nous arrive jamais normalement !). Heureusement, le village n’était plus très loin, petite pause pour remplir les gourdes et se désaltérer et on repart.

On poursuit le chemin puis on attaque une grosse montée bien raide qui casse les papattes. En haut nous voilà à Besse, petit village de pierre très mignon. On pousse jusqu’à l’air de bivouac municipale à Bonnefin (5€/pers pour camper). On déballe les sacs, le Lièvre installe la tente tandis que je me rend compte qu’il porte toutes nos affaires depuis ce midi (sacs de couchages, tapis de sol, tente…) Clairement facile 20kg sur le dos, je ferme ma gueule !

Petite trempette des pieds dans le ruisseau. Dernière boulette de la journée, on s’est planté sur la bonbonne de gaz, elle n’est pas compatible avec notre jetboil… Erreur de débutant ! Tout fini bien, on emprunte le réchaud de nos voisins de bivouac. Un bon diner chaud et au dodo !

💡 Le petit conseil : si vous avez encore des jambes, poussez jusqu’au plateau d’Emparis pour dormir dans un super décor (bivouac).

#2 : Bonnefin – Arsine

Raconté par le Lièvre

Après une nuit de sommeil moins réparatrice que prévue, voilà que le réveil sonne à 5h30. Le départ est donné vers 6h30 à la fraiche pour se préserver au mieux du soleil. La journée débute par 700m de D+ jusqu’au plateau d’Emparis. Magnifique spectacle devant nous entre pics enneignés et plus hauts sommets des Écrins.

Ensuite nous prenons la direction du Lac Noir (variante du GR). Après un « petit » raidillon, nous arrivons devant le lac. Quelques bivouaqueurs qui se baignent convainc le Lièvre de tester l’eau. Un petit plouf pour se rafraîchir et nous voilà repartis. Après avoir longé la ligne de niveau, on entame la descente vers Chazelet. Le cagnard et une descente beaucoup plus longue qu’il n’y paraissait ont légèrement entamé le physique de la Tortue. Après une pause déj bien méritée, on reprend la route vers la Grave.

Le Lac Noir

Une autre descente sous 35°C, un bonheur ! Histoire de réparer notre boulette, la Tortue va nous acheter une bombone, compatible cette fois ! Puis on prend la direction de Villar d’Arène où un « sentier en forêt » était annoncé. Que nenni ! Forêt il y a mais au dessus et en dessous du sentier. Nous on se tape le plein soleil. Arrivés dans le village on décide de prendre une petite bière fraiche avant de pousser 4km jusqu’au camping assez blindé d’Arsine.

💡 Le petit conseil : la variante vers le Lac Noir vaut vraiment le coup et ne rajoute qu’une petite heure à la journée

#3 : Arsine – Chapelle de Charvet (Monetier les Bains)

Raconté par la Tortue

Réveil un peu plus difficile, double snooze pour le Lièvre ! Journée qui démarre tranquillement en longeant le plan d’eau, le soleil caché derrière les nuages. Puis montée jusqu’au col d’Arsine que je fais tranquillement derrière Charlie qui connaissait parfaitement la route. Charlie, c’est l’âne qui s’occupe du ravitaillement du refuge situé un peu avant le col (refuge de l’Alpe de Villar d’Arène). Je finis par abandonner Charlie et ses 80kg sur le dos un peu avant la fin. On arrive au col bercé par les cris des marmottes et des vaches qui nous entourent. Vue superbe au col où nous arrivons après 2h15 de marche.

On entame ensuite la descente d’abord très tranquillement le long d’une rivière blanche et de deux petits lacs laiteux. La descente se poursuit plus abruptement jusque dans la forêt. Nous croisons deux ingénieurs bordelais qui voulaient pousser plus loin jusqu’à Vallouise. Après 2h de descente, nous les lâchons à Casset où la pluie commence à tomber. Nous poursuivons jusqu’à Monetier où c’est l’heure de la pause ! Au programme crêperie et passage au supermarché pour l’apéro !

Nous décidons de dormir sur le début du GR et reprenons la route vers 14h. La pluie nous rattrape mais nous atteignons la chapelle de Charvet sous une accalmie. On réussit à monter la tente avec que la pluie et l’orage ne reviennent de plus belle. Après midi et fin de journée dans la tente : sieste, mots fléchés, bières et saucisson !

💡 Le petit conseil : nous (ou plutôt la Tortue aidée par la pluie) avons fait le choix de faire une mini étape. Il est possible de pousser pour dormir au pied des télésièges.

#4 : Chapelle de Charvet – Pont des places (Vallouise)

Raconté par le Lièvre

Réveil à la fraîche après une nuit pluvieuse. Le ciel dégagé nous permet d’admirer la vue sur Monêtier les bains. Nous entamons ensuite l’ascension vers le col de l’Eychauda. Un début assez raide dans la forêt puis une fin d’ascension le long du télésiège. Nous sommes seuls au mondes ! Nos uniques compagnons de rando sont des vaches et une petite marmotte toute mimi que la Tortue pourchasse à grands coups d’appareil photo. Ascension très bien gérée qui nous permet d’atteindre le sommet en moins de 2h (vs 3h annoncées par le topoguide).

Après un petit goûter, nous commençons la descente vers Vallouise. On croise un peu plus de monde, notamment vers le bas où les randonneurs viennent profiter des paysages à la journée. Les derniers kilomètres de la descente sont moins agréables puisque nous longeons la départementale. Arrivée à Vallouise 10 min avant la fermeture de la supérette (ferme à 12h), on fait le plein de provision puis déjeunons sur le parvis de l’église.

En repartant on suit les balises GR sur quelques kilomètres avant de réaliser (merci la Tortue !) qu’il s’agissait d’une variante allant vers le Puy-Saint-Vincent. Demi-tour ! Une fois sur la bonne route nous longeons l’Ondes sur quelques km avant de planter notre tente sur une aire de bivouac. Le programme de la fin d’après-midi se résume à trempette des pieds (faut pas déconner elle est gelée !) et lecture.

#5 : Pont des places – Pré de la Chaumette

Raconté par la Tortue

Réveil tranquille puis départ sous un ciel dégagé. On est parti pour 5h30 de montée direction le col de l’Aup-Martin. Première heure et quart, pas hyper agréable sur la départementale jusqu’à Entre-les-Aigues. Là commence vraiment l’ascension avec une heure jusqu’à la cabane de Jas le Croix plutôt facile, même si ça monte un peu. Petite pause à la cabane puis nous attaquons les choses sérieuses.

Après une première partie sans trop de difficulté, on se retrouve au milieu des pierriers à faire des petits lacets. Le Lièvre, un couple que nous avions déjà croisé et une dame en solo, se trompent sur le chemin et font un petit bout tout droit à travers la montagne ! De mon côté, un peu derrière, je reste vigilante et réussi à ne pas perdre le GR. Il faut reconnaître qu’ils ont été un peu radins en balises.

Vers la fin des lacets, le Lièvre file devant : objectif le col ! Je poursuis à mon rythme la montée. La dernière partie est bien plus technique (petit souvenir du GR20) avec des passages abruptes, une peu casse gueule et mal balisés. Le couple se retrompe de chemin ce qui me permet de les rattraper et de faire la fin plus sereinement avec eux. La toute fin se fait sur un terrain glissant de pierre de schiste avec quelques derniers lacets un peu difficiles ! Alors que le Lièvre se prélasse au col depuis une vingtaine de minutes au col, je suis bien contente d’arriver, en finalement 2h20 depuis Jas le Croix.

Mini pause et on repart en faisant le tour du vallon pour atteindre un col à côté. Cette fois, le Lièvre m’attend et nous avons la chance de passer juste après deux bénévoles qui refaisaient la route. Ça facilite les choses ! On attaque ensuite une longue descente qui casse les genoux et on s’arrêt au bout de 1h20 pour déjeuner. J’ai mal partout et le moral est un peu entamé. Finalement après une bonne pause, tout va mieux et nous faisons facilement la grosse demi-heure qui nous sépare du refuge.

Une belle journée qui se finit sous le soleil dans un superbe cadre. Grosse pensée pour nos amis (le couple) qui sont repartis direct pour 5h de marche pour le refuge de Valonpierre car celui du Pré de la Chaumette est fermé pour cause de covid. Vive la tente ! Fin d’aprem habituelle : sieste, jeu de cartes…

#6 : Pré de la Chaumette – Chapelle en Valgaudemar

Raconté par le Lièvre

Début de journée sportif avec une première montée dans les rochers pour commencer. L’ascension du col de la Valette se déroule à merveille avec une Tortue au top de sa forme, bien aidée par la fraîcheur matinale. La fin est un poil technique mais nous finissons en 2h contre les 3h annoncées par le topo. À peine le temps de faire une mini pause et nous voilà lancés dans la descente puis la courte montée vers le col de Gouiran.

Pas le temps de dire ouf, on enchaîne avec une descente entourés de 50 000 moutons. Pendant la descente, on cherchait désespérément des yeux le col de Vallonpierre en espérant que ce soit la petite maison sur la gauche. Que nenni, grosse montée en perspective sur la droite. Finalement avalée bien plus vite que prévue. Sans pause, nous fonçons dans la descente vers le refuge. Belle surprise, on tombe sur le couple qui faisait une journée off après leur marathon de la veille. Finalement tout s’est bien passé pour eux ! Après un petit chocolat chaud avec eux où ils nous donnaient leurs conseils sur des équipements de pro (imaginez, ils ont un placard que pour leurs duvets -25°C à 900€) et des idées de randos (les encantas en Espagne prochaine destination ?).

Nous repartons ensuite dans la descente où on devait atteindre une cabane en 1h. On tabasse pensant arriver en 45 min sauf qu’on ne voit la cabane qu’au bout de 1h15. Petit coup au moral mais assez vite digéré quand nous arrivons 45 min plus tard au superbe refuge du Clot où habitent 2 ânes et quelques poules. On avale notre sandwich accompagné d’un jus bio maison.

On repart en pensant arriver en 1h30 au camping. Le topo s’est encore emballé, on arrive enfin 2h plus tard au camping municipal de la Chapelle. Au top la douche chaude qui fait du bien après plusieurs jours. Dîner avec nos compagnons de rando puis dodo.

#7 : La Chapelle en Valgaudemar – Désert en Valjouffrey

Raconté par la Tortue

Réveil difficile sous une tente trempée après une nuit orageuse, puis départ à 7h ! 1h de marche le long du ruisseau jusqu’à Villar-Loubière. Ensuite c’est parti pour 2h de montée qui passe plutôt bien jusqu’au refuge des souffles. Notre ami Romain nous a rattrapé dans la montée et fera toute l’étape avec nous (et les 2 dernière également !). Petite pause et on repart pour 2h 15 de montée. On commence par une ligne de niveau avec des passages rocheux qui cassent les jambes puis petits lacets et plus longs lacets ! Les jambes sont lourdes, j’ai mal au dos et la montée se fait longue. Mais je fini par arriver au bout grâce au Lièvre qui l’a attendu sur la fin.

Pause au col pour recharger un peu les batteries. Et c’est reparti pour une descente qui casse les genoux : on démarre sec dans du schiste bien raide, tout ce que je déteste ! On continue 40 min sur un chemin bien caillouteux. Pause déj bien méritée. Romain repart devant et on suit bringuebalant au rythme de mémère aux pattes cassées. Après 1h30 interminables on finit par arriver au village qu’on traverse à la recherche d’une aire de bivouac en vain… On finit par se poser le long du GR dans un champ sur un plateau au dessus du village.

Alors que je monte la tente, le Lièvre part à la recherche de Romain qu’on n’a vu nulle part ! Pendant ce temps là, je me fais envahir par un troupeau de chèvres pas très heureuses de me voir sur leur lieu de pâturage. Le Lièvre finit par revenir : il a trouver l’air de bivouac 300 m plus dans le village où Romain s’est posé ! On emballe la tente et on descend au gite. Petite bière, petite glace maison, lyophilisé et dodo !

#8 : Désert en Valjouffrey – Lac de la Muzelle

Raconté par le Lièvre

Départ à 6h45 du bivouac pour une 1ère montée de 1000m de dénivelé. La pente est assez tranquille donc ça monte à un bon rythme. À un moment, je me perds en faisant la fameuse technique du « En cas de doute, prendre la pente au plus gros dénivelé ». Je vois la Tortue 300m plus loin monter sereinement sur le vrai sentier. Arrivés en haut on prend quelques photos avec Romain. Puis un autre compagnon de route, Jean, se joint à nous et on attaque une descente tranquille avant la grande montée.

Col de Côte Belle (et oui on a encore triché c’est la photo d’hier !)

Montée que la Tortue fracasse en mettant 1h30 au temps annoncé par le topo ! Grosse performance notamment sur le mur final très très pentu où se succèdent des lacets courts très serrés (80 et quelques d’après elle qui les a compté !). La vue est magnifique d’un côté sur le lac de l’autre sur la vallée.

On fini enfin par une descente (qui commence très mal pour la Tortue qui se fait une petite frayeur sur le premier mur de schiste) avec en point de mire le lac et le refuge de la Muzelle. Petit passage rigolo sur un névé nous retire de la monotonie. Arrivés au refuge, on prend un petit apéro avec nos amis avant de planter la tente au bord du lac pour un dodo bien mérité.

#9 : Lac de la Muzelle – Bourg d’Oisans

Racontée par la Tortue

Réveil matinal et départ avec le lever du soleil à 6h15 avec Romain qui nous accompagne pour cette dernière journée. On commence par monter notre 14ème et dernier col (snif !) en 50 min. On gagne de précieuses minutes sur le topo ! En effet l’objectif de la journée est d’arriver à attraper la navette de 13h17 à Bourg d’Oisans et le topo annonce 7h30 d’étape !

Ensuite on attaque la longue descente. Le tout début se passe bien et ensuite ça se complique. Les genoux n’apprécient guère les pierres et passages techniques qui se trouvent sur notre chemin. Le plus dur : la « petite » remontée bien raide alors qu’on s’approchait du lac. Heureusement la vue sur le lac Lauvitel est magnifique.

Petite pause au lac après 2h10 de descente, mais pas le temps de trainer, on repart très vite pour la deuxième partie de la descente qui se fait beaucoup mieux. Au bout d’une heure on voit Jean qui arrive par un autre chemin : il est parti 1h après nous et a bien tracé ! On finit la descente tous les 4. On croise beaucoup de monde sur le chemin, c’est le retour à la civilisation. La dernière heure et demi est très longue après les Gauchoirs. On est sur une route en forêt, le rythme est soutenu, les jambes sont lourdes et la fatigue de la fin se fait sentir. La cueillette de mûres aurait pu avoir raison de nous mais on tient bon et on arrive avec 30 min d’avance pour notre navette.

Ça y est c’est finit ! On laisse Jean et Romain à Bourg d’Oisans et on file sur Paris avec un petit changement de train qui nous fait gagner 4h. Ah oui parce que demain c’est retour au bureau, un jour nous apprendrons à prendre un jour de repos en plus pour temporiser !

Bilan

Difficulté : La note du lièvre 5
Difficulté : La note de la tortue 8
Parcours : paysages, faune, flore... 9

En résumé

7.3 Un superbe GR beaucoup plus sauvage que la plupart des autres. On recommande vraiment, vous serez très souvent seul(e)s au monde. En revanche, attention on le déconseille aux débutants (surtout en 9 jours) avec quelques passages assez techniques (même si le lièvre haussera probablement les épaules). C'est un peu un mix entre le GR20 et le TMB. Si vous êtes un(e) randonneur(se) aguerri(e), vous pouvez probablement le faire en 8 jours (en accélérant sur nos 4 premières étapes). Alors n'hésitez plus et foncez !!!

Tags : DifficileEn tenteHaute montagneTrek